« depuis notre plus grande enfance, on nous a appris à dénigrer la vérité et à glorifier le mensonge. On nous a appris à nous contenter de ce que nous avons, à condition que les autres en soient privés. Et pis encore, on nous a habitués, depuis notre prime jeunesse, à nourrir des pensées malsaines qui commencent toujours par: « Mais tout le monde... » » (page 96-97)
L’émouvantail
Dans la solitude du soir
Il interroge son épouvantail
Sur le désespoir
Les regards
Des autres
Seul le silence lui répond
Pire qu’un non
Les moqueries
Les railleries
Il en a plus envie
L’homme de paille
L’accompagne, l’accepte
Seuls dans leurs différences
Loin des hommes...
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